Projet de protection de l'environnement pour la construction d'un bâtiment

Notre site bureau d'études a élaboré un projet de protection de l'environnement pour la construction de la centrale nucléaire de la Colombie-Britannique. 

CONCEPTION ENVIRONNEMENTALE

Cette section traite de la justification environnementale des solutions de conception, prévoit des mesures de protection de l'environnement et des mesures visant à assurer des conditions de vie confortables aux visiteurs de l'hôtel et du complexe de bureaux et aux résidents du développement adjacent, tant pendant la construction que pendant l'exploitation de l'installation.　

La conception est basée sur l'étude technique du bâtiment ainsi que sur des enquêtes sur place dans la région. La section "Liste des mesures de protection de l'environnement" a été élaborée conformément à la résolution n° 87 du gouvernement de la Fédération de Russie "Sur la composition des sections de la documentation du projet et les exigences relatives à leur contenu".

Les travaux ont été réalisés conformément aux exigences de la loi fédérale "sur la sécurité sanitaire et épidémiologique de la population" (n° 52-FZ du 30.03.1999), de la loi fédérale "sur la protection de l'environnement" (n° 7-FZ du 10.01.2002), de la loi fédérale "sur la protection de l'air" (n° 96 du 04.05.1999), ainsi que des documents réglementaires régissant le contenu de la section.　

CHANGEMENT DES COMPOSANTES ENVIRONNEMENTALES PENDANT LA MISE EN ŒUVRE DES PROPOSITIONS DU PROJET

Utilisation durable des ressources foncières et protection de l'environnement.　 la protection de la couverture du sol.

Les travaux de construction de la partie souterraine du bâtiment ont été réalisés entre 2006 et 2012. Il n'y aura donc pas d'excavation à ciel ouvert lors de l'érection de la partie souterraine du bâtiment. Les équipements de construction seront situés sur les zones asphaltées du site de construction.　

Pendant l'édification de la partie hors-sol du complexe, il est possible de stocker temporairement les matériaux de construction sur la surface de roulement de la partie stylobate du complexe, ce qui exclut l'impact sur la couverture du sol. Pendant les travaux de construction pour la pose des services publics pour le bâtiment debout, la couverture végétale existante sera perturbée dans les zones d'excavation ouverte et les machines de construction. La couche de végétation sera coupée et placée dans une décharge.　

La terre convenant au remblayage doit être transportée vers une décharge temporaire. Le stockage de la terre sur le site de construction est exclu. La terre végétale ne doit pas être arrosée d'huiles et de combustibles pendant le fonctionnement des moteurs à combustion interne. La prévention de l'érosion et de la dégradation des terrains adjacents sera réalisée en interdisant la circulation des véhicules de construction et des véhicules à moteur en dehors des voies d'accès.　

Protection de la végétation　

Pendant les activités de construction, la couverture végétale existante sera perturbée dans les zones d'excavation ouverte pour la pose des services publics ainsi que dans les zones où les machines de construction fonctionnent.　

Aucun arbre ou arbuste ne poussera sur le site de construction projeté. partie dendrologique du projet). Dans le cadre du projet d'aménagement paysager et de jardinage du site, il est proposé d'aménager des pelouses d'une superficie totale de 132,3 m2. Les pelouses seront formées sur un sol fertile créé artificiellement avec une épaisseur de 20 cm avec l'application du supercompost "Pix".　

Utilisation rationnelle et protection des masses d'eau.

Calcul du volume et du degré de pollution des écoulements de surface　

Période des travaux de construction　

La phase zéro de la construction du bâtiment, comprenant la construction du "mur dans le sol", l'excavation de l'excavation avec les bermes restantes, le bétonnage de la partie centrale de la dalle du sous-sol, l'installation de 2 niveaux du système d'épandage composé d'étais métalliques poussés-tirés et l'excavation des bermes, le bétonnage du reste de la dalle du sous-sol et l'érection partielle de la partie souterraine du complexe, est actuellement terminée sur le chantier de l'offre.　

Le bâtiment sera érigé par une grue à tour. Le transport motorisé sera accessible par les routes existantes recouvertes d'asphalte. Le drainage organisé des eaux de surface sera mis en œuvre au moyen d'un système de drainage. Un système de drainage sous forme de fossés, d'abreuvoirs, de rigoles et de puits récepteurs est également aménagé pour protéger le chantier de l'écoulement des eaux de surface.

Les systèmes temporaires d'approvisionnement en eau et d'évacuation des eaux usées prévoient des boucles fermées pour les besoins techniques individuels (lavage des équipements de construction, des roues des véhicules, test et rinçage des réseaux d'ingénierie, etc.)　

Le calcul du volume des eaux de ruissellement et de leur degré de pollution pendant la période de construction est effectué dans la "liste des mesures de protection de l'environnement" dans le cadre des matériaux de conception approuvés par Mosgosexpertiza (conclusion positive).　

Période de fonctionnement de l'objet　

La prédiction du degré de pollution du ruissellement de surface est basée sur le calcul du bilan du volume du ruissellement et de la teneur des principaux polluants. Les calculs ont été effectués pour le bassin versant du site de construction projeté dans la zone allouée de 0,5 ha et dans la zone d'aménagement paysager de restauration de 0,092 ha.　

Utilisation des ressources en eau dans l'activité économique du PE

La source d'approvisionnement en eau pour les besoins domestiques et de protection contre les incendies de l'objet projeté, tant pendant la construction qu'au stade de l'exploitation, est le réseau d'approvisionnement en eau de la ville. L'évacuation des eaux usées est prévue dans le réseau d'égouts fécaux de la ville, avec un prélèvement supplémentaire vers les installations de traitement biologique de la ville.　

Période de construction.

L'approvisionnement temporaire en eau in situ du site de construction est effectué en se connectant au système d'approvisionnement en eau de la ville existante. Le système d'approvisionnement temporaire en eau est conçu pour répondre aux besoins domestiques, industriels et de lutte contre l'incendie.　

La consommation totale d'eau pour les besoins de production par jour sera de 0,11 l/sec, pour les besoins domestiques par jour - 0,98 l/sec. La consommation totale d'eau pour les besoins du chantier est de 62,8 m / jour (1,09 l/sec).　

La consommation d'eau pour la lutte contre les incendies est supposée être de PO l/s (pour Moscou, avec une zone de construction allant jusqu'à 50 ha). Le réseau d'égouts temporaire est connecté au système d'égouts existant et est conçu pour 56,45m/sec. (0,98 l/s).

Les eaux usées fécales sont collectées dans 4 bio-toilettes dans le camp de construction. Pour le lavage des roues des camions à benne quittant la zone de construction, il existe une station de lavage avec l'installation d'un système de recyclage de l'eau et le traitement des eaux usées des solides en suspension et des produits pétroliers tels que le Moidodyr-K.

Le système de recyclage de l'eau assure le traitement de l'eau depuis les concentrations initiales jusqu'aux paramètres selon les capacités techniques de l'installation "Mojdodyr-K".

1. Concentration de contaminants, mg/l :

les eaux usées à la sortie :

- solides en suspension - 4500

- par produits pétroliers - 200

l'eau traitée à la sortie :

- pour les solides en suspension - 200

- pour les produits pétroliers - 20

La pollution sous forme de solides en suspension va dans la fosse à boue, les produits pétroliers - dans un réservoir spécial. L'élimination des polluants est effectuée par Moydodyr CJSC ou par l'entreprise d'État Promotkhody.

Les installations de CJSC EPFC Moydodyr ont passé toute une série de tests et sont recommandées pour une utilisation généralisée.

Exploitation du bâtiment conçu

L'approvisionnement en eau de l'objet est assuré en conformité avec le MSUE "Mosvodokanal".

Le débit total d'eau du réseau urbain d'approvisionnement en eau est de 200 m/jour, le débit d'eaux usées dans le réseau urbain d'eaux usées domestiques sera de 160 m/jour. Le déséquilibre est causé par des pertes irrécupérables lors de l'irrigation des pelouses, des revêtements durs, de l'alimentation des systèmes de refroidissement et d'humidification.

Le bilan de la consommation d'eau et de l'évacuation des eaux usées est présenté dans le tableau 3.3.3.

Les entreprises sont équipées d'eau froide et chaude provenant des réseaux existants. La qualité de l'eau utilisée à des fins technologiques et domestiques répond aux exigences de la norme GOST 2874-82 "Eau potable". Exigences en matière d'hygiène et règles de sélection". L'eau est fournie aux cuves de lavage et aux éviers par un mélangeur.

La composition des polluants dans les eaux usées de l'installation projetée est établie conformément à la norme SP 30.133.30.2012. La concentration de polluants dans les eaux usées est calculée selon la formule :　

С= Nxc/Q mg/l,

où : N- un nombre réduit de consommateurs, de personnes.

s- quantité de polluants par consommateur d'eau, g/jour, prise selon le tableau A du SP 30.133.30.2012, recalculée au prorata de la consommation d'eau ;　

Q - débit domestique, 186,8 m³/d ;

Le nombre de consommateurs d'eau selon les taux de consommation d'eau est de (N) :

• personnel de bureau 1500　
• Utilisateurs de la suite 50　
• personnel de l'hôtel 35　
• personnel de restauration 60　
• le personnel technique du parking 24　

Les eaux usées industrielles des entreprises de restauration projetées avec un nombre total de sièges - 390 et une capacité de plus de 11000 repas / jour, le flux total de 140 mUday, caractérisé par les indicateurs suivants :

Pour le traitement local des eaux usées contenant des graisses des entreprises de restauration publique, des bacs à graisse automatiques sont prévus.

Après les séparateurs de graisses, les eaux usées industrielles sont pompées par une unité d'assainissement de petite taille avec une sortie séparée vers le réseau intrasite des eaux usées domestiques.

Les installations de traitement des eaux usées (bacs à graisse) sont décrites dans le tableau 3.3.7. Les eaux usées provenant des bacs à graisse sont décrites dans le chapitre 3.6.2 "Contrôle de la production d'eaux usées".

Des réseaux d'égouts séparés sont prévus pour l'évacuation des eaux usées des installations du projet :

• domestique - pour les eaux usées provenant d'appareils sanitaires ;　
• industriel - à partir d'équipements technologiques ;　

Les locaux industriels sont équipés de drains avec une pente

Les locaux industriels sont équipés de drains avec une pente de la surface du sol vers ceux-ci. Les bacs à laver sont raccordés au système d'égouts avec une rupture de jet d'au moins 20 mm à partir du niveau de l'entonnoir d'admission. En cas de coupure d'eau chaude dans la salle de lavage, il doit y avoir des chauffe-eau à circulation de secours.

Les eaux usées du bâtiment conçu seront évacuées conformément aux spécifications du MSUE Mosvodokanal dans le réseau urbain de l'assainissement fécal.

Les eaux usées sont conformes aux limites maximales de rejet autorisées pour le réseau d'égouts de la ville et peuvent être traitées à la station d'aération par traitement biologique. Les caractéristiques du débit total des eaux usées sont présentées dans le tableau 3.3.5.

Protection de l'air atmosphérique.

Pollution de l'air ambiant pendant les activités de construction.

Cette section fournit une évaluation de l'impact environnemental des équipements de construction utilisés pour le projet de construction en termes de facteur de pollution chimique.

Selon la conception de l'organisation de la construction, les travaux sont réalisés en 2 équipes. La durée totale de la construction est de 40 mois. Une liste des machines et mécanismes de construction qui sont des sources d'émissions polluantes est présentée dans le tableau 3.4.1.

Tableau 3.4.1.

Les polluants suivants sont émis dans l'atmosphère lors du fonctionnement des engins routiers et des machines de construction :

• le dioxyde d'azote ;　
• l'oxyde d'azote ;　
• noir de carbone ;　
• le dioxyde de soufre ;　
• Les hydrocarbures de transport (catégorisés comme paraffine et essence).　

Lors des opérations de soudage électrique à l'aide d'électrodes et de coupage des métaux au gaz, les éléments suivants sont émis dans l'atmosphère :

• l'oxyde de fer ;　
• le manganèse et ses composés ;　
• le fluorure d'hydrogène ;　
• l'oxyde de carbone ;　
• le dioxyde d'azote.　

Les travaux de "mur dans le sol", l'excavation de la fouille avec des bermes, le bétonnage de la partie centrale de la dalle de fondation, l'installation de 2 niveaux du système d'épandage composé d'étais métalliques push-pull avec excavation de la berme, le bétonnage de la partie restante de la dalle de fondation et l'érection partielle de la partie souterraine du complexe au niveau 0.000, ainsi que le démantèlement du niveau inférieur du système d'épandage ont été réalisés en 2006.

Actuellement, une dalle de fondation en béton armé avec six fosses de traitement et l'étage supérieur du système d'épandage sont en place au fond de l'excavation. Par conséquent, aucune émission de poussière inorganique n'est comptabilisée pendant les travaux de construction à ce stade.

L'émission de polluants dans l'atmosphère est désorganisée par le mouvement des machines et des équipements autour du site de construction. Le chantier de construction est donc considéré comme une source unique et désorganisée d'émissions polluantes.

Calcul de la masse des émissions polluantes dans l'atmosphère pendant les activités de construction.

Calcul de l'émission massive de polluants dans l'atmosphère par les véhicules et les équipements routiers.

Le calcul des émissions polluantes lors du fonctionnement des équipements spécialisés sur le chantier a été réalisé à l'aide du logiciel "ATP-Ecolog" version 3.01.11 du 5.05.2005 et se base sur les documents méthodologiques suivants :

• Méthodologie pour l'inventaire des émissions polluantes　

Méthodologie pour l'inventaire des émissions de polluants atmosphériques des entreprises de transport routier (méthode de calcul). Moscou, 1998.

• Méthodologie pour l'inventaire des émissions de polluants　

Recommandations méthodiques sur un inventaire des émissions de polluants dans l'atmosphère pour les entreprises de réparation automobile (par méthode de calcul). Moscou, 1998 ;

• Méthodologie d'inventaire des émissions de polluants pour les entreprises de construction de routes (par méthode de calcul, 1998.　

(en russe), Méthodologie de l'inventaire des émissions de polluants dans l'atmosphère pour les bases d'équipements de construction de routes (par méthode de calcul). Moscou, 1998.

• Annexe 9 des appendices n° 1 à 3 des méthodologies susmentionnées ;　
• Guide méthodique pour le calcul, la réglementation et le contrôle des émissions de polluants dans l'air atmosphérique. Saint-Pétersbourg, 2005.　

Conformément aux recommandations de l'Institut de Recherche Atmosphérique ("Methodological Guidelines for the Calculation, Rationing and Control of Air Pollutant Emissions".

S.-Pb., 2005) afin de tenir compte de la transformation des substances initiales en substances plus toxiques dans les calculs de la pollution atmosphérique, il est recommandé de diviser les oxydes d'azote, provoqués par différents types de véhicules et de combustion d'engins routiers, en leurs composants : oxyde d'azote et dioxyde d'azote.

Les facteurs de transformation doivent être pris au niveau de la transformation maximale spécifiée (paragraphe 1.5 de l'OND-86), c'est-à-dire 0,8 pour N02 et 0,13 pour N0 de NOx.

Les données d'entrée pour le calcul des émissions polluantes maximales et annuelles, les formules de calcul, ainsi que les résultats des calculs sous forme d'impressions du logiciel "ATP-Ecolog" sont présentés dans les annexes.

Le tableau 3.4.2 indique les émissions annuelles maximales (g/s) de polluants provenant des engins de chantier pendant la période hivernale et les émissions annuelles moyennes

Conclusions et recommandations sur la protection de l'air atmosphérique

Le niveau d'impact calculé des émissions de polluants sur le site de construction dépasse le niveau admissible de pollution atmosphérique à Moscou en ce qui concerne le dioxyde d'azote et s'élèvera à 1,11 MPCM.R.

Les travaux de construction pendant la période la plus défavorable des travaux de construction selon le facteur de pollution atmosphérique sont raisonnablement réalisables et sont effectués pendant une période limitée avec le nombre minimum requis de moyens techniques à la capacité requise des machines et des mécanismes (selon le PIC).

Étant donné la nature temporaire des travaux de construction, on peut affirmer que la détérioration de la qualité de l'air dans la zone de travail pendant la période de construction sera insignifiante.

Il convient de noter que les niveaux de pollution atmosphérique obtenus correspondent aux conditions météorologiques les plus défavorables à la dispersion des contaminants nocifs - température maximale de l'air et temps calme. La répétabilité de la situation critique qui sous-tend le modèle de calcul des concentrations maximales uniques est faible. La plupart du temps, lorsque des travaux de construction sont réalisés, la pollution atmosphérique par des impuretés nocives pendant le fonctionnement des machines de construction sera inférieure à celle calculée.

Par conséquent, les travaux de construction dans la zone en question sont acceptables et n'entraîneront pas de pollution atmosphérique excessive, conformément aux solutions adoptées dans le PIC et justifiées par cette sous-section.

Pour éviter une pollution excessive de l'air atmosphérique pendant la période de construction, il est recommandé de

• respecter strictement le calendrier d'utilisation des engins de chantier conformément au PSM ;　
• exclure les temps d'arrêt des machines avec le moteur en marche.　

La pollution atmosphérique pendant l'exploitation de l'installation projetée.

Le complexe hôtelier et commercial projeté est conçu à partir des bâtiments :

bureau. Des cafés à chaque étage et une cantine de 250 p.m. au 2ème étage sont prévus pour assurer la restauration du personnel de bureau.

La cantine fonctionne avec des matières premières et des produits semi-finis. Le chargement de la cantine s'effectue dans un écorceur fermé de 2 m/étage par des véhicules de petit tonnage.

hôtel. Au 2ème étage de l'hôtel se trouve un restaurant de 40 places, qui travaille les matières premières et les produits semi-finis. Une aire de chargement au 1er étage sous un auvent est prévue pour le chargement économique du mini-hôtel. entreprises de restauration (2 étages).

Un restaurant de 100 p.m. avec un mini-bar pour les résidents avec une salle à manger au rez-de-chaussée ;

Le chargement de l'ensemble de l'installation de restauration est prévu au niveau du parking souterrain, il y a un écorceur conçu pour 2 m/places. La livraison des marchandises sera effectuée par un transport motorisé de type "GAZ 2705".

La collecte et le stockage temporaire des déchets solides municipaux et des balayures seront effectués dans la zone de chargement, dans un local destiné au stockage des conteneurs.

Le déplacement vertical des produits par 2 monte-charges r/n 1000 kg chacun.

Pour le chargement économique de l'hôtel, une zone de chargement est prévue sous l'auvent du bâtiment B.

Sous les bâtiments se trouve un parking à deux niveaux, d'une capacité totale de 299 m/m.

Selon les propositions du projet, les sources d'émissions de polluants atmosphériques seront :

• un parking souterrain d'une capacité de 100 m/m.　
• un débarcadère d'une capacité de 2 m/m dans le garage souterrain.　
• surface de chargement pour un mini-hôtel au 1er étage sous un abri de 1 m/m　
• parking extérieur pour le stationnement à court terme de voitures de tourisme avec une capacité de 10 m/m ;　

Les principales sources de pollution atmosphérique seront les véhicules à moteur, qui sont une source d'émissions d'une série de polluants. Conformément aux documents d'orientation et de réglementation actuels, les polluants suivants seront pris en compte :

- les oxydes d'azote ;

- l'oxyde de carbone ;

- hydrocarbures de transport (total) ;

- le dioxyde de soufre.

Le dioxyde de soufre et le dioxyde d'azote ont un effet de sommation incomplet sur l'organisme humain.

Conformément aux recommandations de l'Institut de recherche atmosphérique ("Methodical Guidebook on Calculation, Norming and Control of Emissions of Pollutants into Atmospheric Air" St. Petersburg, 2005), pour tenir compte de la transformation des substances en substances plus toxiques dans les calculs de la pollution atmosphérique, il est recommandé de séparer les oxydes d'azote en leurs composants : oxyde d'azote et dioxyde d'azote lors de la détermination des émissions.

Les coefficients de transformation doivent être pris au niveau de la transformation maximale établie (p. 1.5 OND-86), c'est-à-dire 0,8 pour NOS et 0,13 pour N0 de NOK.

Les hydrocarbures émis dans l'atmosphère par les véhicules à essence doivent être classés sous la rubrique essence (code 2704) et sous la rubrique paraffine (code 2732).

Les émissions de polluants dans les aires de stationnement ouvertes ne sont pas organisées, les sources d'émissions seront les aires de stationnement elles-mêmes. Les émissions des systèmes de ventilation du garage et des installations de restauration et de l'écorceuse sont des sources organisées.

Calcul de la masse des émissions polluantes des véhicules

Le calcul de la masse des émissions maximales uniques et brutes (annuelles) de polluants dans l'atmosphère par le transport automobile a été effectué par l'outil logiciel "ATP-Ecologist" version 3.01.11 du 5.05.2005, sur la base des documents méthodologiques suivants :

1. Méthodologie pour l'inventaire des émissions de polluants

1) Méthodologie pour l'inventaire des émissions de polluants atmosphériques des entreprises de transport routier (méthode de calcul). Moscou, 1998. Supplément à la méthodologie.

2. Méthodologie pour l'inventaire des émissions de polluants

Méthodologie d'un inventaire des émissions polluantes dans l'atmosphère pour les entreprises de réparation automobile (par méthode de calcul). Moscou, 1998.

Source n° 6001 - parking extérieur à usage général pour 10 m/m

Conformément à la norme MGSN 5.01-01 "Parkings pour voitures particulières" (annexe 2, p. 1.1), les modes de sortie et d'entrée suivants ont été adoptés

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